Medellín et sa région

Dans l’attente de recevoir Fabien le 4 avril, je suis parti les quelques derniers jours dans la région de Medellín. Avec un bus de nuit, je suis parvenu dans la célèbre ville de Pablo Escobar. Que dire de Medellín ? Pas grand chose. La ville exerce son emprise sur trois ou quatre montagnes tant son

Medellín et sa région

Dans l’attente de recevoir Fabien le 4 avril, je suis parti les quelques derniers jours dans la région de Medellín.

Avec un bus de nuit, je suis parvenu dans la célèbre ville de Pablo Escobar. Que dire de Medellín ? Pas grand chose. La ville exerce son emprise sur trois ou quatre montagnes tant son étendue est importante. De la vallée jusqu’aux cimes, des petites maisons de brique. Cela faisait très favela. De nuit, les collines ressemblent à un ciel étoilé et l’on se rend compte de la densité.

Je n’ai pas visité Medellín par manque de temps, préférant ses alentours.

Tout d’abord, Guatapé. Attiré par la fameuse pierre qui y trône, c’est finalement le village qui a retenu mon attention.

En plus, j’y ai goûté une spécialité colombienne : le fiambre. Un assortiment de graton de porc, viande hachée, saucisse, œuf, riz et plantain, le tout cuit dans une feuille de bananier !

Fiambre, un tantinet protéiné

Ma deuxième visite s’est poursuivie au sud de Medellín, dans l’Eje cafetero (de retour !) puisque je me suis rendu à Jericó.

J’ai apprécié la bourgade aux airs de Salento, mais plus petite et enclavée dans des montagnes. C’était par ailleurs bien moins touristique.

Le christ rédempteur au sommet de la ville

J’ai grimpé les montagnes environnantes pour me rendre au parc de las nubes (les nuages). L’endroit, splendide, porte bien son nom. Cette cuvette naturelle retient les nuages dans la matinée, ce qui donne l’impression d’être dans les airs !

En redescendant, je suis monté dans un bus pour la suite de ma visite de la région.