La côte sud

Après s’être remis de nos émotions dans la haute cordillère blanche, nous avons repris la route pour le sud du pays, enfin ! Le lieu de passage obligatoire, c’était la capitale, Lima. Connaissant déjà la ville, ne voulant pas m’y attarder trop, j’ai décidé que nous n’y passerions qu’une journée. Ce

La côte sud

Après s’être remis de nos émotions dans la haute cordillère blanche, nous avons repris la route pour le sud du pays, enfin !

Le lieu de passage obligatoire, c’était la capitale, Lima. Connaissant déjà la ville, ne voulant pas m’y attarder trop, j’ai décidé que nous n’y passerions qu’une journée. Ce furent quelques heures bien agréables puisque pour une fois à Lima, le soleil était de sortie. Ainsi, j’ai pu me faire un nouvel avis plus favorable que deux ans auparavant de la capitale péruvienne.

À ne pas s’y méprendre : il n’y a bien que le centre colonial qui est joli. Le reste est à l’image du Pérou : sale et délabré.

Nous nous sommes offert une parenthèse culture intéressante en visitant un monastère franciscain au style mauresque.

Ces photos sont inédites : le guide, un vieux catho strict, nous fliquait pour faire respecter la règle. PAS DE PHOTOS !

Ensuite, forts de cette visite, nous avons mis cap sur Ica. Il s’agit d’une ville dans la zone désertique du sud ouest péruvien. Là-bas, pas d’arbres ni végétation. Des dunes de sable, jusqu’à l’horizon. Voulant profiter du désert, nous nous sommes rendus à l’oasis de Huacachina pour faire du buggy.

C’étaient de véritables sensations fortes, mieux qu’à la fête foraine. Après nous être arrêtés, nous avons pu faire du sand bord (du ski sur le sable). J’ai également fait voler mon drône et en ai tiré de magnifiques clichés !

Le lendemain, nous nous sommes rendus au bord du Pacifique, dans la réserve de Paracas. Au programme, c’était quad dans le désert. Contrairement à la veille, c’était une jolie balade sur du plat, et avec le désert terminant dans l’océan.

Nous avons conclu la visite de la région en passant par Nazca, célèbre pour ses lignes mystérieuses que le désert a su conserver des milliers d’années. Difficile d’apercevoir clairement les lignes, à moins de posséder un drône !

Après ce survol, nous avons passé la soirée en ville avant d’attraper un bus de nuit afin de rejoindre la capitale de l’empire Inca… A suivre!