Jour 7 – Calakmul

Aujourd’hui, nous nous sommes réveillés sans peine à 6h, aidé du jour naissant qui traversait la fenêtre et des cris des poules, des oies, des chiens, et des oiseaux tropicaux. L’objectif du jour : s’enfoncer au cœur de la jungle pour atteindre les ruines maya de Calakmul. Nous sommes donc parti ave

Jour 7 – Calakmul

Aujourd’hui, nous nous sommes réveillés sans peine à 6h, aidé du jour naissant qui traversait la fenêtre et des cris des poules, des oies, des chiens, et des oiseaux tropicaux. L’objectif du jour : s’enfoncer au cœur de la jungle pour atteindre les ruines maya de Calakmul. Nous sommes donc parti avec la voiture, chargés de deux autre français à l’arrière qui nous avaient demandé de les emmener avec eux. Les deux étaient des voyageurs partis des mois pour faire le tour du Mexique. La route de calakmul passait à travers une réserve naturelle remplie d’une faune unique. Il nous était grandement possible de croiser à tout instant un perroquet, un tapir, un singe ou même un jaguar, dont 4800 avaient été répertoriés dans cette jungle.

Après une heure et demi à s’enfoncer dans une forêt toujours plus dense, nous sommes arrivés à Calakmul. La cité était camouflée entre les arbres. De multiples pyramides s’y trouvaient, et nous avions le luxe d’avoir la permission de les escalader !

Une fois parvenus au sommet, nous surplombions la jungle, noyés dans un océan d’arbres à perte de vue. La réserve s’étendait sous nos yeux !

Le toit de la jungle

Nous sommes redescendus et avons fini le tour de la cité. C’est ainsi que nous avons pu voir des dindons sauvages et des singes araignées !

Un groupe de dindes sauvages qui faisait blocus sur la route ?

Après s’être nourri d’empañadas fraîches, nous sommes rentrés. Cette fois-ci, nous avions à l’arrière un autre couple de français que nous avions rencontrés lors de la visite. Ils étaient très gentils, et cherchaient des gens qui pourrait les emmener à Escarcegua, ville par laquelle nous passions afin d’atteindre notre destination du soir, Miguel Colorado. Nous les avons déposé et avons rejoins notre posada. Il s’agissait d’un hébergement chez l’habitant, dans une ville elle même en dehors des sentiers battus des touristes. Nos hôtes sont charmants, ils nous font voir tout ce que nous ne connaissons pas. Ainsi nous avons eu une noix de coco du jardin, du maïs, appris à parler maya…

Claire égrène le maïs pour faire ses futurs tortillas !

Nous profitons de l’endroit et vous tenons au courant pour la suite !