Actuellement, nous nous trouvons assis au bord du ponton privé de l’hôtel. Il est 19h, il doit faire 25 degrés, la nuit tombe à peine. Décidément, cette journée aura été tout du long formidable. Déjà ce matin, nous nous dirigions vers la réserve naturelle de Sian Ka’an. Cet espace protégé de plus de cinq cents hectares abrite une forêt dense et chaude peuplés d’espèces d’oiseaux, de poissons, de singes et même de jaguars. En son cœur, les ruines maya de Muyil sont le restants de cette civilisation mystérieuse qui vivait ici il y a mille ans.

Il était midi lorsque nous partions prendre la route vers Bacalar. La route s’étendait devant nous, écrasée de soleil. Les lignes droites tiraient à l’horizon.

Finalement, ce fut avec plaisir que nous arrivions à Bacalar. Notre premier arrêt fut un petit restaurant, dans lequel nous avons pu tester notre premier ceviche, accompagné d’un jus d’ananas frais !

Bien que le plat de poisson cru soit relevé par le citron vert, le poivre et la coriandre, je n’ai pas pu m’empêcher d’y rajouter quelques touches de piment habanero ?

Les heures succédant le repas, c’est sur l’eau que nous les avons passé ! En effet, Bacalar est une ville au bord d’une lagune d’eau douce prisée des pirates jadis. Nous avons fait un tour de bateau afin de longer les bancs de sable blanc et de profiter de l’eau cristalline.

Voici comment nous nous sommes retrouvés ici, au bout de la jetée de l’hôtel, au bord de la lagune, bercés par le clapotis des vagues. Bonne soirée et à demain !

Jour 5 – Bacalar

Actuellement, nous nous trouvons assis au bord du ponton privé de l’hôtel. Il est 19h, il doit faire 25 degrés, la nuit tombe à peine. Décidément, cette journée aura été tout du long formidable. Déjà ce matin, nous nous dirigions vers la réserve naturelle de Sian Ka’an. Cet espace protégé de plus de