Fjord Saint-Laurent

Étape 3 : les baleines ?

Fjord Saint-Laurent

Nous reprenons la route vers le nord, en direction de Tadoussac, une ville côtière connue pour être un espace privilégié pour l'observation des baleines.

Nous avions réservé une activité quad pour l’après-midi (pas de photo désolé 😄) au cours de laquelle nous avons pu traverser la forêt rougeoyante (pile la place pour le quad entre les arbres) et avoir une vue magnifique sur le fjord.

La ferme qui propose l'activité héberge également différents animaux que nous avons eu le plaisir de rencontrer.

Le soir, nous dormons dans une cabane au milieu de la forêt, un endroit très paisible et romantique, comme coupé du monde. On a malgré les apparences un petit confort avec l’eau et l’électricité et même nos propres toilettes. En tout cas, dépaysement et calme garantis !

Le lendemain, nous profitons de la météo pluvieuse pour nous réfugier au Centre d'Interprétation des Mammifères Marins de Tadoussac. De nombreuses espèces vivent à proximité, dans le Fjord du Saguenay. C'est là que se rencontrent la rivière Saguenay, le fleuve Saint-Laurent et l'océan Atlantique. En nous rendant là-bas, chance, nous apercevons même deux belugas et une baleine !

La ville de Tadoussac est charmante. Nichée en bord de fleuve, l’atmosphère y est paisible. La ville abrite la plus vieille église en bois du continent, érigée en 1747. Nous faisons aussi une pause photo sur les dunes de sable, l’œil au large pour guetter d’éventuels cétacés venant se nourrir dans la baie.

Afin de se remettre au sec et de continuer la charge de la Tesla (un seul chargeur dans la région, on ne pouvait pas faire sans), repas traditionnel local : fish and chips et baguette au homard 😋

Nous laissons Tadoussac pour prendre la route du fjord, quittant donc le fleuve St Laurent pour remonter la rivière Saguenay. La route est splendide, dommage qu’il pleuve autant… mais bon on en prend plein les yeux.

Ce soir c’est arrêt étape à Saguenay (Sag pour les intimes), dans un motel avec vue sur la rivière. En exclusivité voici un extrait de langue québécoise locale, moins compréhensible qu’à Montréal